Sean Winchester. - « Strange freak. »

Invité

« IDENTITY »

Nom & Prénom :

Le jeune Sean est né sous le nom de son père. Pourtant, depuis sa tendre enfance, il a juré de prendre celui de sa chère mère et le fera dès qu'il sortira d'ici. Si il sort un jour... Sean est un simple prénom américain. Son premier prénom n'est autre que celui de son grand-père maternel qu'il n'a jamais connu. Les parents ont une conception de l'hommage réellement étrange, ils nomment leurs enfants, comme leurs parents. Je ne tente même pas de démontrer ce fait. Pourtant, Sean respecte tout à fait cela, car sa mère était très attachée à cette seconde appellation. Pour Uriel, ce prénom hébreu, plutôt original, sort tout droit de la religion. Dominique Dubois était, en effet, une grande chrétienne. La première fois qu'on fit part à l'enfant, alors âgée d'une quinzaine d'années, du nom de cet ange, dont le culte était interdit par peur que celui-ci ne soit en fait un démon, elle se promit d'appeler son fils ainsi.

Age :

Né effectivement aux débuts des années quatre-vingt, Sean est tout juste âgé d'une vingtaine d'année. Aussi, ce jeune homme n'a jamais démontré une maturité rare, dès son plus jeune âge. Toujours aussi peu sage et réfléchi, ses décisions sont souvent prise à la légère.

Lieu et date de naissance :

Un jour pluvieux d'été, Sean vint au monde. Une coïncidence avec son second prénom dont beaucoup associent cet ange à l'été. D'après sa date de naissance, le grand brun est donc né sous le signe du Lion. Si vous présentez quelques connaissances en astrologie, Winchester présente les grandes caractéristiques morales et physiques qui correspondent au royal félin dans l'astrologie. Notre héros est né dans la maison familiale des Winchester, il y a un peu plus d'une vingtaine d'années. Ses parents s'étaient installés dans cette ville du Texas deux ans auparavant, malgré le peu d'aménagements disponibles.

Groupes souhaité :

« I AM WHAT I AM »

Caractère :

Monsieur Winchester est un jeune homme très appliqué et travaille en vue de la perfection. Dès qu'il entreprend quelque chose, il l'accomplit avec succés, après un laborieux travail. L'attention portée à ses projets ou encore à ses tâches ne se retrouve pas sur les autres plans. Effectivement, Sean est un garçon égoïste et froid, il tient beaucoup à sa famille, mais il ne s'occupe jamais de son entourage. Sa générosité a, comme vous pouvez l'imaginer, des limites. Comme cité plus haut, la détermination du garçon est incessante. Ainsi, lorsque Sean désire quelque chose, il l'obtiendra par tous les moyens.
Son courage peut se révéler être un défaut, le jeune homme fonce toujours tête baissée lorsqu'une idée lui traverse l'esprit. On descelle chez lui une légère irresponsabilité, il est étourdi. Je vous conseille de ne jamais trahir le troisième Winchester. Sa rancune est extrèmement redoutée et crainte. Souvent, il est pris pour une poire qu'on peut embobiner facilement. Il se trouve que le jeune texan est assez naïf et tombera dans le panneau, confiant et sans cesse trouvant des intérêts dans les arangements. Pourtant, ceci ne se produira qu'une seule fois dans votre existence, le pardon n'existe pas pour Sean qui restera sur sa décision, sans discussions. Malgré son relatif calme, le jeune garçon s'emporte facilement si quelque chose lui déplaît. Je n'aimerais pas me trouver dans les parages !
Sean reste un homme égocentrique et narcissique. Son sourire pétillant, qui en fait craquer plus d'une, inspire une grande sympathie, malgré son fond cruel. On peut dire que Sean est un dragueur, il adore la compagnie des membres de la gente féminine. Il traîtera ses victimes comme des déesses et saura les charmer grâce à ses mots doux.
Monsieur Winchester est donc un homme plutôt

Ses peurs :

« Winchester et peur sont deux mots qui ne s'associent pas ! Ne vous l'ai-je pas déjà signalé ? »

Regardez le bien, vous croyez vraiment que cet homme est peureux ? Je sais ce que vous allez répondre, « Mais tout le monde redoute quelque chose. » Pourtant, dans le cas de Sean, je serais tentée de vous répondre négativement. A moins que... En effet, notre jeune homme craint quelque chose. Son père... Depuis sa tendre enfance, le bel enfant appréhende le jour où il reverra l'homme violent et alcoolique, rentrant à l'aube, qu'il se devait d'appeler « Papa. ». Pourtant, ce jour n'est jamais arrivé puisque Pierre Winchester, est décédé d'un cancer du foie. Comment expliqueriez-vous qu'une seule larme a dévalé les joues de Sean à l'enterrement de son... père ? Winchester craint indéfiniment quelque chose, en fait ; l'amour. Je sais que vous ne me croirez pas mais ce beau mystérieux est déjà tombé amoureux dans sa vie, à son grand désespoir. Depuis cette relation qui a très mal tourné, le jeune homme a une grande appréhension des femmes et peut, dès qu'il ressentira quelque chose, se renfermer et prendre les jambes à son cou, sans explications.

Le meilleur moment de sa vie :

D'un pas feutré, l'adolescent évoluait dans la ruelle sombre. Sa première chasse, son premier repas solitaire. Après avoir vécu quinze ans, enfermé dans la maison d'Oliver, son maître, en compagnie de ses frères et soeurs et sa mère, il partait se nourrir. En effet, durant ces interminables mois, le jeune homme ne se restaurait qu'à l'aide de victimes, ramenées par sa mère. La nuit était tombée depuis quelques heures déjà. Ses yeux, d'un violet sombre, traduisait sa cruauté, son désir, son besoin. Le malheureux élu marchait calmement, il ne se doutait sûrement pas un seul instant de ce qui allait lui arriver. Les lampadaires, au bout de la rue, n'éclairaient pas l'endroit où le massacre aura lieu. La soif tiraillait le corps frais de Sean, tendu. Il avait la possibilité d'étancher ce besoin vital le plus rapidement possible en se jettant sur sa victime qui perdrait la vie en quelques instants. Et pourtant, l'instinct étrange du Winchester prit le dessus. Décidé et assez effrayant, il barra la route du jeune homme qui se jetait innocemment ses poubelles. Le couvercle du conteneur claqua, l'individu tétanisé eut un rire léger, amical.

- « Vous m'avez fait une de ses peurs...

- J'aimerais vous dire que je suis désolé, mais c'était mon but. »

Le sourire précédent du malheureux humain se transforma - sans plus tarder - en une grimace étrange. Sean reprit de plus belle, sa voix mélodieuse chantait pourtant des mots plutôt effrayants.

« Vous savez pourquoi je suis là ? ... Enfin, quelle question, ne répondez pas. Je suis là pour me nourrir. »

Le futur repas rit légèrement et son visage s'apaisa. Ses yeux traduisaient pourtant son mal aise. Ses mains tremblaient, tenant toujours le couvercle de la poubelle de l'immeuble voisin.

- « Je peux vous offrir quelque chose ?

- Oui, en effet... »

Sa pire honte :

Sa pire honte ? Celle-ci devait sûrement s'être déroulée pendant ses années de lycée, aux environs de son entrée dans l'établissement. Le petit homme était encore ignorant, mais pourtant déjà solitaire. De bon matin, peu souriant comme par habitude, se rendait à son casier pour déposer ses affaires inutiles. D'une peinture sanguine, les mots

étaient écrits sur la porte jaunâtre du compartiment personnel du Winchester. Ce fut sûrement une grande humiliation, mais égal à lui-même, il n'en fit rien et partit comme si de rien n'était en classe.

« MES RELATIONS »

WINCHESTER, William.

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[CREDIT]

WINCHESTER, Josh.

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[CREDIT]

WINCHESTER, Graham.

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WINCHESTER, Mélody.

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[CREDIT]

WINCHESTER, Jaylee.

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WINCHESTER, Lily Rose.

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[CREDIT]

« BEHIND THE COMPUTER »

Où avez vous connu le forum ?

Partenariat.

Comment le trouvez vous ?

Génial !

Celebrité sur l'avatar :

Hayden Christensen.

Avez vous lu le règlement ?

Non.

Invité

« REMEMBER, REMEMBER »

En cette froide nuit d'hiver, Dominique Winchester, anciennement Dubois, quitta sa maison, seule. Enfin, pas si seule... Six enfants la suivaient, à pas feutrés, dans la ville endormie. Elle portait en effet, dans des linges, sa dernière fille endormie. Le poids du bambin entravait sa course et son dos, striés de plaies sanglantes la torturait. Dans un dernier effort, elle s'adossa à une porte de bois, déposant au sol son dernier trésor. Les six autres fruits de sa chair la rejoignirent calmement. William, le plus âgé, s'approcha de sa mère pour inspecter ses plaies. La mère, exténuée commençait à entendre les cris de son mari, ivre, qui courrait dans la rue centrale de San Angelo. Les larmes qui roulaient sur ses joues redoublèrent, elle tremblait, partagée entre la peur et le froid. C'est à ce moment que sa vie entière bascula. Une lumière s'alluma dans la vieille maison devant laquelle elle se trouvait. Ses yeux, brouillés par les pleurs et bousculés par l'obscurité ne reconnaissaient pas la demeure. Un jeune homme, étrange et funeste, ouvrit la porte pour accueillir la jeune femme et ses enfant. Pierre Winchester arrêta ses recherches lorsque le soleil fut visible au dessus des immeubles. Dominique déposa son petit ange près de feu, enroulé dans une couverture supplémentaire. Des pleurs retentirent, pourtant la fille Winchester dormait paisiblement dans ses linges. William et Josh, les deux aînés de la grande famille ajoutèrent à proximité du feu, leur seconde soeur Jaylee, plus grande celle-ci. À partir du moment où Lily-Rose fut installée aux côtés de sa grande soeur, le petit bout de femme se tut et rejoignit rapidement les bras de Morphée. Pourtant, cette nuit s'annonça terrible. Dominique, assise sur la table de la salle à manger, veillait sur ses enfants assoupis pendant que leur hôte, un mystérieux homme nommé Oliver soignait ses blessures.
Sean, le cinquième enfant de la famille dormait avec difficulté, collé contre ces trois frères et Mélody. Le cri de Dominique réveilla ses enfants. Le jeune garçon se dressa en premier et sa mère s'approcha félinement de lui pour l'embrasser dans le cou. C'est pourtant à ce moment précis que Sean Uriel aperçut une morsure dans la gorge de sa mère, deux plaies circulaires dont aucune goutte de sang ne coulait. Le petit homme ne comprenait sûrement pas ce qui lui arrivait. Puis, une douleur engourdissa son artère et d'un geste brusque, il essaya de se dégager de sa mère. Celle-ci le fixa de ses yeux sombres et teintés de jaune, deux longues dents occupaient la place de ses canines. Ainsi, Sean porta sa main à son cou et sentit deux trous qui marquaient sa peau douce, sous les lèvres de sa mère. Des tremblements le prirent, ses membres s'engourdissaient de douleur, aucun son n'arrivait à sortir de sa bouche, entravée par la main ferme et glacée de sa mère. De larmes coulèrent sur les joues de l'enfant, décontenancé. Il ne pouvait se débattre, une chaleur envahit son cou puis gagnait peu à peu son corps, dans son intégralité. Des frissons parcouraient son échine qui refroidissait rapidement. Les émotions le submergèrent et il sombra, sur le vieux tapis oriental de la pièce sombre.
Un bruit guttural extirpa Sean de son sommeil léger. Quelques minutes lui furent pourtant nécessaires pour qu'il se relève, animée d'une sensation nouvelle, un besoin éprouvant, une lutte qui débutait. Il ouvrit les yeux peu à peu et découvrit l'un des jumeaux, allongé à ses côtés, dépourvu de vie, de sang, d'âme. Le jeune Winchester contempla ses mains d'une teinte immaculée, telle la neige fraîche, propre, qui couvrait, le matin, les rues désertes du Texas, au beau milieu de l'hiver. Ainsi, l'horreur de son grand frère, inerte, ne le choqua pas, vide. Il reporta son attention sur sa mère, frêle et tremblante, qui mordait pourtant le bambin qui pleurait intensément. Il comprit rapidement ce qu'il était devenu et jeta à nouveau un coup d'oeil à Jake, allongé au sol, mort. N'était-il pas mort lui aussi ? Dépourvu de vie, de sang et d'âme, il l'était aussi. Son coeur ne battait plus dans sa poitrine enfantine, marquée des coups de son père violent.

« TEST RP »

Uriel Stanford - The Ecstasy of Gold ; Mount Pleasant, Texas.

Comme par habitude, un coq poussa son cri rauque et peu mélodieux aux alentours de six heures du matin. Il réveillera sûrement tous les habitants du village de Mount Pleasant. Le coq... Cet animal devait être celui qu'Uriel maudissait le plus au monde. En effet, le propriétaire du Dead Coyote Saloon n'avait quitté son établissement qu'une heure plus tôt et s'était couché depuis une petite demi-heure, suite à une douche bien méritée. L'oiseau chanteur avait troublé le sommeil léger de Stanford. Oui, ce sommeil léger dans lequel vous êtes plongés, mais encore conscients. Aussi, si un simple bruit trouble ce moment privilégié, vous ne pourrez pas fermer l'oeil de la nuit. C'est exactement ce que ce maudit ovipare avait infligé au jeune texan.

« Ta gueule ! »

Peu matinal et en plus de cela, impoli. Mais bon, nous pardonnons tout à notre héros. C'est ainsi qu'Uriel ôta ses draps blancs, à l'origine, pour s'extirper de son lit. Les vieux ressorts ne manquèrent pas l'occasion de grincer, avec fracas. Habillé d'un simple caleçon ample, pour la nuit, Stanford se leva, avec lenteur. Les yeux mi-clos, il évolua jusqu'à sa vieille armoire de bois. D'un geste mécanique, il prit possession d'un boxer propre, d'un jean troué un peu partout, d'un marcel moulant immaculé et une simple chemise à carreaux, légère. C'est ainsi que, d'une démarche lourde, le beau brun gagna à nouveau sa salle de bains pour un petit quart d'heure de préparation. Par la suite, Uriel quitta la pièce humide, fin prêt pour une journée longue et éprouvante. Excusez-moi mais je me permets de vous rappeler que Monsieur n'a pas dormi. C'est donc dans cette attitude lente et ralentie que le grand brun quitta directement son logis et pénétra dans son pick-up bleuâtre, tapissé par la célèbre poussière du Texas. La clé tournée lança le moteur capricieux qui cracha quelques nuages de fumée avant de stabiliser son bruit vrombissant. Le soleil venait de se lever depuis maintenant une bonne petite heure. Un dernier coup d'oeil à sa montre permit à Uriel de réaliser qu'il n'était que sept heures du matin. La boîte de vitesse grinça sous la main de celui-ci qui prit la direction de l'Ouest de Mount Pleasant.

« J'arrive mon pauvre. »

Je vous rassure, Stanford ne parle pas tout seul pour penser résoudre ses problèmes et réaliser la stupidité habituelle de ses actes. Ce n'est pas tellement son genre, déjà qu'il ne parle pas excessivement lorsqu'il bénéficie de compagnie... Le beau texan venait de s'adresser à son étalon tacheté qui s'impatientait dans sa stabulation. En effet, il avait gagné le Barfly Ranch en cette heure matinale pour simplement partir se promener à cheval. L'élevage équin réservait une place au mâle du jeune homme en contre-partie d'un arrangement financier. Uriel ouvrit le loquet de la porte de bois pour caresser son fidèle destrier pendant quelques minutes. Par de simples cercles autour des yeux de l'étalon et sur son chanfrein, le cavalier le détendait avec douceur. Par la suite, il gratta rapidement le haut de sa tête pour ébouriffer son toupet. Il sortit ensuite du box, sans refermer la porte, il n'avait pas réellement peur que le cheval s'enfuit puisqu'il mangeait son orge, sans oublier d'en déverser sur toute la paille fraîche. Uriel pénétra dans la sellerie pour attraper le filet d'Indian Hope qui se constituait de montants brodés et d'un mors simple. Il prit aussi possession de sa lourde selle américaine, d'un tapis épais, d'un bouchon et d'un cure-pied. Le pansage fut rapide et efficace puisque notre texan était passé la veille pour s'occuper d'Hope. Avec tout l'attirail, le propriétaire de l'appaloosa mit un bon moment à harnacher ce dernier. Lorsque cette tâche fut effectuée, il emmena son destrier dans la cour et après avoir vérifié plusieurs fois ses sangles, il glissa ses bottines de cuir dans les étriers. Fin prêt, il prit le chemin de Redfalls River.

« Eclate-toi Hope. »

Uriel mit pied-à-terre après avoir caressé l'encolure de l'étalon, visiblement pressé de brouter l'herbe fraîche qui bordait l'eau transparente. Notre cavalier noua les rêves au pommeau de la selle avant de s'accroupir au bord de la rivière. Il regroupa d'en sa main un peu de liquide frais pour s'en hydrater le visage. Un bruit suspect se fit entendre et Stanford se retourna vivement. Il reprit son calme lorsqu'il aperçut Indian qui mangeait sans retenue la végétation verdoyante qui entourait le point d'eau. Le texan s'assit calmement sur une roche humide et contempler le courant calme de la rivière. Il n'avait aucune idée de l'heure qu'il était et n'en avait, par ailleurs, rien à faire. Il était détendu et posé sous le soleil brillant en cette belle journée de printemps.

Invité

Je pense avoir terminé, même si c'est un peu léger et je m'en excuse.

Complètement débile, je suis. Gaga

PRÉSENTATION VALIDÉE.
Moment d'égarement...

» Strange Relationship ; Libre.