BEHIND BLUE EYES.
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 Lydekeh Jellykah Silverwood

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MessageSujet: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood EmptyDim 1 Juin - 21:55



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« IDENTITY »


Nom & Prénom : Silverwood Lydekeh, Jellykah
Age : 18 ans.
Lieu et date de naissance : 14 Février 1989 à Edimbourg
Groupes souhaité : Esclave ...


« BEHIND THE COMPUTER »


Où avez vous connu le forum ? Partenariat
Comment le trouvez vous ? Superbe
Célébrité sur l'avatar : Michelle Trachtenberg
Avez vous lu le règlement ? Non.

« RP »


    1.Toi qui, comme un coup de couteau,
    Dans mon cœur plaintif es entré…


    « Déshabilles-toi. Montres-moi… »

    Une supplique qui résonnait encore et toujours dans ses oreilles chastes, prière du Diable qui la retenait en ce lieu de désolation et de mort. Il ne faisait pas de doute qu’il avait réussit à mettre un Ange des plus rare en cage, maniait ses ailes blanches avec dextérité, arrachant de ci et de là avec la plus grande délicatesse et discrétion les plumes qui pourraient lui servir à s’envoler. Le fils de Lucifer prend avec le plus grand tact un grand soin de sa trouvaille, touche du bout des doigts cette âme si pure et qu’il ne possèdera jamais, elle l’attire, l’intrigue et pourtant, au fond de lui, il la hait, rêve de la détruire, de la posséder pour l’éternité. Que cette petite auréole lumineuse devienne sienne, son trophée, son laissez-passer pour une bien meilleure place que celle qu’il ne possède déjà. Car elles sont rares ces créatures parfaites en tout point, dont le regard, le cœur, l’âme et le corps sont purs, vierges de toute perversité. Celle-ci a voué son amour aux cieux, la croix d’argent qu’elle porte autour du coup le prouve merveilleusement bien. Il sait qu’il aura du mal à s’en faire aimer, s’en faire apprécier, l’enjeu est de taille. Pourtant, tout aurait été si simple dès le départ. Il lui aurait suffit de faire comme à l’ordinaire, ce qu’elle ignore, de la posséder et d’écouter le silence qu’elle lui offrait, ou seulement d’entendre la musique de cet organe battant que l’on appelle cœur. Deux mois… Deux longs mois à regarder le soleil, puis la tombée de la nuit et enfin observer la Lune, si lointaine et si proche, jusqu’à ce visage angélique qui l’intrigue, lui plaît et l’emplit d’émotions diverses et bien souvent contradictoire. Elle se doit de le détester pour la tenir en captivité, et pourtant, elle ne peut s’empêcher de ressentir toute autre chose depuis maintenant quelques semaines. Ne peut empêcher son cœur de chanter quand il entre dans sa cellule, et encore moins son regard le détailler sur toutes les coutures… Et c’est pourquoi cette nuit, ses petits doigts habiles s’exécuteront pour faire glisser les bretelles de sa robe jusqu’à ce que cette dernière tombe au sol, silencieusement. Jusqu’à ce qu’elle soit nue devant lui, dans la plus simple des tenues, Seule sa longue chevelure cache encore sa poitrine ferme. Son corps à la peau blanche comme neige est offert quand son âme se refuse au démon. Ses yeux couleur glace se ferment doucement alors que le long de ses courbes, une main se fraie un chemin, sinuant entre les traits gracieux, les arrondis des formes et les creux. La respiration de l’être au féminin se ralentit gracieusement tandis que son cœur lui, offre généreusement quelques bonds quand la main masculine se rapproche d’un peu trop près d’un endroit sacré intime, et la peau aussi douce que celle d’un bébé suit tout naturellement, avide de frissons. La créature humaine sait qu’en une fraction de seconde, elle peut tout perdre : la grâce, l’innocence comme la vie. En un battement d’aile de papillon, tout peut changer et tirer en faveur de celui face à elle, en une fraction de seconde, elle peut aussi conserver le tout. Si l’on pouvait ajouter une mélodie à toute cette mascarade, il faudrait indéniablement une musique douce et oppressante, sans doute un violon qui pleure ou les gémissements d’un piano. Le suspens est, comme chaque nuit qu’elle peut voir, à son comble, elle demeure naturelle et douce, patiente et attendant la suite des évènements, comme à chaque fois. Elle n’a pas peur de rejoindre les cieux ou d’offrir sa chair aux flammes ardente de l’enfer, tout comme elle n’est pas effrayée de passer toutes ses nuits en compagnie de celui que l’on prénomme le Monstre Sanguinaire. Elle n’ignore pas, et sans doute n’a-t-elle pas crue au début, mais la vérité est pourtant sous ses yeux, sous ces airs angéliques le démon se tient, prêt à attaquer, prêt à déguster et se régaler… Il n’est pas rare qu’il revienne avec l’odeur du sang et de la mort en guise de parfum, et celui-ci se mêle à merveille avec l’ambiance glauque et bizarre de la cellule où il tient prisonnière celle dont la beauté surpasse les gravures. Elle n’a eut peur de lui qu’une fois, et il le sait pertinemment. Depuis, elle attend, observe et écoute. Il n’est pas rare qu’il la trouve endormie lorsqu’il arrive, la tête posée sur l’oreiller qui n’est pas le sien, la mine calme et sur laquelle pourtant, on trouve un petit soupçon d’inquiétude…A quoi peut-elle bien penser la jolie demoiselle aux cheveux bruns et au regard envoûtant ? A son père sans doute, qui l’attend depuis deux longs mois, qui surveille chaque jour le couloir de l’entrée, dans le seul et unique espoir de voir son unique enfant passer la porte, dans cette robe blanche qu’elle portait le soir de sa disparition, le regard pétillant et qui parle à la place de ses lèvres, la faute aux cordes vocales scellées depuis sa naissance. Elle ne songe même pas à partie la divine enfant, vous vous rendez-compte ? Syndrome de Stockholm certainement, ou quelque chose dans ce genre là.
    Cette fois, la main étrangère se pose avec langueur sur l’intimité la plus basse du corps de la jeune demoiselle, et c’est tout son être qui s’affole, son cœur bat plus vite, et son échine est traversée d’un long frisson, est ce la peur, l’excitation ou le dégoût qui l’habite ? Même elle ne saurait le définir exactement. Et alors que le corps derrière elle se presse contre le sien, la jeune pucelle se rend compte que cette fois pourrait bien être la dernière, que ce soir sans doute pourra-t-elle recevoir le baiser du démon, ou celui de l’Ange de la mort. Les deux à la fois ? Et cette autre main, qui jusqu’alors s’est montrée sage et lointaine le devient un peu moins lorsqu’elle se pose sur la poitrine de la sainte, cachant de ce fait la nudité importante de la divine égérie. La créature nocturne hume l’odeur de l’innocence de la jeune fille, sa fragrance est semblable à l’arôme de la nourriture des Dieux : envoûtante et désirée.


    « Rhabilles-toi. »

    L’ordre claque, aussi sec qu’un coup de fouet manié par la plus céleste des entités. Le soulagement est à son paroxysme, un sentiment de frustration règne dans l’étrange chambre de la séquestrée, mais nul ne saurait réellement dire de qui elle émane. Provient-elle de la vierge qui le restera une nuit encore ou du délicieux vampire qui ne peut se résoudre à flétrir la plus jolie de ses fleurs ? A moins que ce ne soit un jeu encore plus pervers et pourtant bien imaginé par le fils de Lucifer. Il n’y aura aucune protestation, de toute manière, elle ne le peut pas et son âme est bien loin d’être désireuse de le blâmer. Rapidement, elle attrape sa robe prête à la remettre, mais un autre ordre tout aussi doux que le premier, lui indique de le faire lentement. S’exécutant, elle se demande pourquoi, et la réponse semble si évidente ! Que ne demanderait-on pour apercevoir cette chair nue, ses courbes délicatement dessinées… Il le sait, il est le premier à en jouir autant et certainement le dernier. Et une fois que la dernière bretelle est remise en place, il ne peut s’empêcher de fondre sur elle et de la mener dans sa couche où il ne la rejoindra pas, désireux d’extirper son désir charnel chez une autre qui ne trouve pas grâce à ses yeux. Demain est une autre nuit…Peut être demain trouvera t’il le désir de porter autre chose que ses mains sur la peau blanche de l’intouchable idylle. Mais pas ce soir… Pas cette nuit, pas sous cette lune. Et pourtant, ne le désire t’elle pas, elle qui est allongée sur le lit, les cheveux éparses en auréole ? N’éprouve t’elle pas ce soir cette envie qui s’est insinuée en elle, tel un poison qui agit lentement ? Oh s’il pouvait se coucher à côté d’elle, contre elle et y rester… Sans doute ferait il de la délicate fleur la plus heureuse. Elle le serait certainement plus s’il daignait aussi la faire sienne ce soir, mais ce ne sont là que les mirages d’un corps sous les charmes du démon. Son âme pure hurle de tout son être de ne pas céder à la tentation, elle hésite et est fascinée cependant. Et c’est sur ce sentiment que la belle ferme les yeux alors que légèrement plus loin, la porte de sa cellule se referme dans le grincement si singulier de cette dernière.


    2.Deux mondes, le tien et le mien,
    Deux regards, le tien et le mien,
    Deux souffles en un pour un seul cœur qui bat.


    C’est dans cette cellule que Lydekeh s’éveille doucement, la tête encore embrumée par un brouillard si épais et si mince. Les souvenirs sont aussi flous que si elle devait se rappeler d’un passage de sa vie de la période de ses quatre ans. Elle ne connaît pas l’endroit, ne l’a même jamais vu dans ses cauchemars, l’ambiance est si froide et glaciale qu’elle ne peut s’empêcher de frissonner. Même l’odeur lui fait peur, une odeur de mort et de glas… Ce n’est pas dans son lit qu’elle est couchée, où sont ses draps de satin ? Où sont les oreillers défoncés par son port de tête ? Où se cache l’odeur de Fleur Blanche sous cette immondice chargée de sueur et d’arrière goût de sang ? Ce n’est pas chez elle, et il lui semble bien qu’implicitement, elle ne retrouvera sans doute jamais les murs blancs de sa demeure, qu’elle ne reverra plus le visage soucieux de son paternel…Doucement, elle quitte la couche et avance à travers la petite cellule ; ses yeux de glace se porte sur l’environnement, ses délicats doigts touche le mur face à elle, et c’est comme si elle pouvait y lire toute l’horreur que ce simple pan à pu connaître et voir. N’est ce pas une geôle où la dernière habitante fut si sauvagement battue et violée ? N’est ce pas là qu’elle à trouvé la mort, comme les autres avant elle ? Une répétition que la nouvelle condamnée ignore. Elle ne lit que l’horreur mais est incapable de voir au-delà, de connaître les moindres détails. Et elle ? Quelle est son histoire ? Comment est elle arrivée ici ? Quel être l’y a mené ? Est-ce son cavalier, Nathan ? Cavalier… Oui, d’une soirée, un bal où son père avait désiré qu’elle se rende, dans le seul et unique but qu’elle ne reste pas seule en ce samedi soir. Il n’est qu’un autre fidèle de la paroisse de son père, mais il est gentil et joli garçon… Mais si ennuyeux. C’est là un détail que la jeune fille au visage d’ange se souvient parfaitement… Elle dont la voix ne franchit pas ses lèvres rosées aurait tellement désirée lui dire de la ramener chez elle, qu’elle termine sa soirée en s’absorbant totalement dans un de ces romans. Hélas, il semble tellement s’amuser qu’elle s’en voudrait certainement de lui ôté sa part de distraction. Elle erre donc dans la salle, s’assoit, se relève, esquisse des sourires et amorce quelques petits pas, parfois, on la fait tournoyer dans sa longue robe blanche qui reflète si bien sa pureté et ses longs cheveux couleur du bois suivent les mouvements, ondulent en longues vagues. Et tout s’enchaîne, et tout va si vite jusqu’à ce furtif instant. Ce moment qui lui coûtera cher, cette seconde fugace où son regard océan croise un autre regard, tout aussi bleu que le sien, mais dont la profondeur cache un tourment si bien ancré que le temps semble s’arrêter pour la jeune fille. Le temps se suspend, tout autant que les mouvements autour d’elle, il n’y a qu’elle et lui, jusqu’à ce que, comme dans un film typé Constantine le temps reprenne son droit et que tout mouvement reprenne là où il s’est arrêté. Débute alors le jeu censé être enfantin, le jeu de Cache-cache ou du Loup dans la version adulte, ce regard l’intrigue, elle est désireuse d’en voir plus, d’en connaître l’origine, et si elle avait connut son futur caché, sans doute serait elle restée auprès de Nathan à s’ennuyer et non pas courir après la forme la plus délicieuse du Démon. Mais la chaleur est étouffante, l’ambiance la rend morose, et c’est avec le désir de trouver la paix que la jeune fille sort de la salle, peu couverte, ses yeux glissant doucement vers les étoiles. Sans doute aurait elle dû rester près de la porte, mais son désir de se mouvoir la mène vers un grand cerisier où le piège est tendue. Pour ce qui est de la suite, la pauvre enfant n’a pas le temps d’esquisser une mimique de cri qui ne franchira jamais ses lèvres, car déjà une main terriblement ferme et douce se pose sur ses lèvres en même temps qu’elle perd connaissance. Seule la lune est témoin du spectacle et silencieuse elle demeure, protégeant ses enfants de deux mondes différents. Le souffle saccadé du premier, celui trop calme de la deuxième. Un seul cœur qui bat dans la poitrine féminine contre le torse bâtie de l’homme. Cette nuit, la froide maîtresse du soleil à sceller le serment implicite des deux jeunes gens dans une éternité qui pourrait être courte ou terriblement longue…
    Elle ne l’a retrouvé que la nuit suivante, le regard qu’elle cherchait, alors qu’elle était assise sur la couche, les pieds nus, les jambes repliés vers elle, la tête posée sur ses genoux, faisant dos à la grille de la cellule. Son regard est rêveur, et si elle avait eu une voix, celle-ci fredonnerait doucement la mélodie de son enfance… Un grincement pourtant lui annonce l’arrivée de quelqu’un, son geôlier sans doute. C’est la première fois qu’elle voit une telle beauté, et cela l’effraie, encore plus lorsque ses prunelles croisent les siennes et qu’il vient pour toucher son épaule ou caresser lointainement sa joue. La situation est exposée aussi clairement que possible, elle lui appartient, elle demeurera son esclave jusqu’à ce qu’il désire la libérer, elle devra exaucer chacun de ses désirs, se soumettre. Elle n’a pas réellement le choix. On lui a conté bien des choses durant la journée… « Mais si je suis à toi… N’es tu pas à moi ? »





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Dernière édition par Lydekeh J. Silverwood le Lun 2 Juin - 23:35, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood EmptyDim 1 Juin - 21:59

    Bienvenue, merci de ton inscription.
    Je te réserve l'avatar.
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MessageSujet: Re: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood EmptyLun 2 Juin - 18:42

    Bienvenue et merci de ton inscription.

    Bonne continuation.
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MessageSujet: Re: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood EmptyLun 2 Juin - 23:35

Tout simplement magnifique... Si ça ne tenait qu'à moi, je te validerais de suite! C'est mélodieux, poétique, tu arrives à décrire les ténèbres avec douceur, goût et lumière. J'adore, j'adhère et je suis heureuse que mon perso fasse partie de ton sublime background! =)
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MessageSujet: Re: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood EmptyLun 2 Juin - 23:37

Merci à vous deux =)
Ma fiche est donc achevée ^^

EDIT : Josh : A croire que tu m'as beaucoup inspiré nem
Je suis toute aussi heureuse que tu en fasses partie <33
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MessageSujet: Re: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood EmptyMar 3 Juin - 19:00

    plop

    J'ai rien à dire... A par peut-être, le fait que tu n'aies pas suivi la fiche de présentation. Mais de toute façon je m'en fiche. *smile*


PRÉSENTATION VALIDÉE.
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MessageSujet: Re: Lydekeh Jellykah Silverwood   Lydekeh Jellykah Silverwood Empty

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